Série d’entrevues Pop Montréal : TALI TALIWAH & THE RUCKUS

LB Culture

Qu’est-ce qui a inspiré le nom Tali Taliwah and The Ruckus?

DJ Andy Williams (The Goods, Jazz Amnesty) est un ami. On est les deux Canadiens d’origine antillaise et on aime vraiment les adages antillais, dont « Mi likkle but mi tallawah ». En gros ça signifie « Je suis peut-être petit, mais je suis fort, ne mélange pas les choses. ».

Où puises-tu ton inspiration pour ta musique?

Principalement de ce que j’entends dans les nouvelles ou des idées qui me viennent en pensant aux questions, histoires et expériences dont on parle peu dans les nouvelles. Tout ça est évidemment entremêlé à mes propres expériences.

Quelles sont tes influences musicales?

Buju Banton, Lauryn Hill, Black Thought, des chanteurs folkloriques des années 60 et 70, Bon Iver, Laura Mvula, The Mighty Sparrow.

Qu’aimes-tu le plus de POP Montréal?

La variété d’artistes et la camaraderie créée par les tables rondes et les ateliers.

Qu’est-ce qui rend la scène musicale et artistique de Montréal si unique?

Son abondance. Les gens se vouent à la création à différents niveaux : pour soi-même, pour l’école des beaux-arts, pour l’industrie, pour une communauté de gens qui ont la même sensibilité d’âme, pour la compétition, pour la création accidentelle, etc. À travers tout ça, de l’art original émerge tout le temps et il y a différents débouchés à tous ces niveaux.

Crédit photo: Nik Brovkin
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